lundi 30 mars 2009

Aoujourd'hui...

DES GRABOUILLOUS !!!!






Les connoisseurs auront reconnu un croquis préparatoire de superrocker, côté aujourd'hui à 7500 euros.

dimanche 22 mars 2009

J'ai pas d'idée de titre pour celui-là



Nous prévenons nos lecteurs les plus sensibles qu'il y a eu plus de peur que de mal et que nos gentils colocataires les acariens n'auront aucune peine à retrouver un nouvel eldorado dans le taudis bordélique qui me sert d'appartement.

samedi 21 mars 2009

jeudi 12 mars 2009

'chier.

vendredi 6 mars 2009

Aujourd'hui je glande.





Si c'est vrai, sans tricher en plus.





Et pour vous, petits canaillous, l'adresse du site. C'est gratos, et surtout ils demandent pas d'adresse mail "pour envoyer la réponse".

mercredi 4 mars 2009

Elle est plus forte que toi la crise, tchakatcha, woupla youpala youpla

Bon, ils en ont déjà parlé dans le canard enchaîné, mieux que j'en parlerai moi-même mais tant pis.



Le véritable article est quand même moins tartuffe que tel que je le décris, mais nan, c'est pas un fake, oui, ils ont vraiment fait leur une du 13 février avec ça, et oui je suis donc grave à la bourre pour lacher mes petits commentaires mesquins.

Voilà le bouzin .J'aime beaucoup le passage sur l'état pitoyable du syndicalisme, le journaliste arrive presque à faire croire qu'il le déplore vraiment. A titre personnel j'aime bien aussi le petit warning sur les suppressions de postes dans l'éducation nationale, tout de même bien hypocrite quand on sait que les gusses du figaro ont toujours été pour ces suppressions et l'ont bien fait savoir.

DEPECHE DE L'AFP, DERNIERE MINUTE : Après des recherches plus approfondies, je suis en mesure d'affirmer qu'en plus d'être des faux culs, les journalistes du figaro sont des feignants. Le coup du rire contre la crise, ils nous l'avaient déjà fait l'an dernier. Quelle honte, repomper des vieux articles. Je soupçonne un rédacteur en chef peu scrupuleux, pressé de partir en RTT. Pauvre France.

dimanche 1 mars 2009

Illustration pour un fanzine de jeu de rôle



Une jeune fille en pleine crise d'adolescence. Vu qu'on est dans un univers médiéval-fantastique, la donzelle, au lieu d'avoir simplement des boutons sur la gueule et des poussées d'hormones, développe des pouvoirs magiques qu'elle n'arrive pas à contrôler et tue des gens sans faire gaffe.

Personnellement, à tout prendre, j'aurais préféré avoir ce genre de don maléfique plutôt que des boutons sur la gueule. Je parle en connaissance de cause.